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La berlue…sconie

Non, ce n’est pas un effet de la berlue : selon Libération du 15 décembre 2009, l’ineffable Cavalière a bel et bien son confesseur particulier et attitré. Il se nomme Don Verzé et a rendu visite à son célèbre pénitent le lendemain du jour (béni) où le dénommé Massimo Tartaglia (santo subito !) lui décocha en pleine poire un Dôme de Milan métallique et miniaturisé. En primeur mondiale, grâce à un micro espion subrepticement dissimulé par notre agent secret Narcissus Pratorum dans un bouton de la soutane même du saint homme, le libre-penseur-adlpf.com est en mesure de vous livrer l’essentiel de la confession berlusconienne à celui qu’il désigne comme son directeur de conscience alors même que celle-ci demeure introuvable chez l’homme le plus riche et le plus puissant de la péninsule italienne Et voici ce que révèle l’indiscret micro espion sacrilège :

Voix de Silvio Beriusconi, (geignarde) : Merci d’accourir au chevet de la victime de la méchanceté humaine, mon Père.

 » Ma Vie à Contre – Coran  » par Djemila Benhabib

 » Ma Vie à Contre – Coran  » par Djemila Benhabib

Note de lecture par JAP:

Née en 1972 en Ukraine, d’une mère chypriote grecque et d’un père algérien, Djemila Benhabib grandit à Oran dans une famille de scientifiques engagée dans les luttes politiques et sociales Très tôt elle prend conscience de la condition subalterne des femmes algériennes. Condamnée à mort, par les islamistes, sa famille se réfugie en France en 1994. En 1997, Djemila Benhabib s’installe, seule au Québec où elle poursuit des études en physique, en science politique et en droit international. Elle découvre, là-bas, comme elle l’a fait, précédemment en Algérie puis en France, les méthodes et l’interpénétration des islamistes intégristes. Elle est aujourd’hui employée du gouvernement canadien. Son livre publié au canada (V.L.B. éditions) en début d’année 2009 a connu un grand succès. Il vient de sortir en France, diffusé par Inter-Forum.

La femme du chanoine et la chanson 

Histoire de notre temps.

L’émotion était à son comble lorsque l’ancien mannequin, femme du chanoine honoraire de Latran, en représentation devant les caméras lors de sa visite à L’Aquila, annonça, ponctuant sa déclaration d’un radieux sourire, que la France financerait à moitié la reconstruction de l’Église détruite par un tremblement de terre (et par la volonté de Dieu ?…). J’ai cru avoir mal entendu ! Mais le 14 Juillet, fière d’elle, montrant bien sa position de femme de chanoine et non de « première dame de France », qui aurait dû respecter, tout particulièrement en ce jour de fête nationale, la laïcité, établie par la loi de 1905 et inscrite dans la constitution, elle réitéra ses propos de façon tout aussi suave, devant de nouvelles caméras . Tout cela sans que les journalistes qui réalisaient l’interview n’ y trouvent rien à redire.

CES VOILEES QUI N’EN SONT PAS…

Dans les repères traditionnels marocains, les femmes portaient la jellaba et le nguab ou letham. Les grands-mères et arrière-grands-mères sortaient ainsi dans les venelles de la médina. Après l’indépendance, dans les années 60, elles se sont émancipées en adoptant des tenues plus modernes et plus fonctionnelles. Les femmes marocaines envahissaient petit à petit la vie active et libéraient leur corps. Un demi siècle plus tard, les choses ont changé. Un vent de conservatisme souffle dans les rues. Et partout on ne voit plus que jeunes femmes et moins jeunes opter, sans référence identitaire définie, pour diverses tenues, qui vont du hijab au khimar, nguab, niqab ou foulard. Au grand bonheur des marchand de fringues. Des ninjas, sombres silhouettes informes, aux jeunes audacieuses osant l’alliance d’un vêtement moulant et d’un foulard coloré.

Pour les hommes, se dissimuler derrière les voiles devient un gage de respectabilité. Etre l’épouse « obéissante » ou la « bonne » mère est rassurant, être voilée aussi. La « bonne » mère, au même titre que la femme voilée est associée dans l’imaginaire collectif au dévouement total à la famille et aux enfants. C’est pour cela que la femme voilée croit en sa supériorité morale sur la « non-voilée ».

LE SALAFISME

Abdellatif El Azizi est journaliste à l’hebdo marocain « Actuel » et, pour le n° 19 du 24.10.09, il s’est rendu à Derb Moulay Chrif, ruelle noire de monde qui longe les baraques du bidonville des « carrières centrales » de Casa. Il est 17 h. Entre le vendeur de légumes et le marchand de fripes, un salafiste visionne un DVD sur la fin des temps. Le vendeur, barbe et kanis de rigueur, en rajoute.

« Aujourd’hui, ceux qui parlent de combat avec les athées se trompent, nous ne sommes pas en guerre contre les athées, c’est l’Occident qui est en guerre contre nous ». Et il n’y a pas un souk parallèle, une esplanade de mosquée ou une librairie populaire où ne foisonne ce genre de littérature.

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Revue d’actualité N°224, 16 juillet 2021

Grandes manœuvres, Bolloré promeut Zemmour et sa bande à Europe 1, tandis que les 20 pays les plus riches nous font miroiter une taxe quasi universelle, mais sans toutefois nous en indiquer l’assiette. On apprend aussi que Macron serait de centre-droit sans nous expliquer où est passée sa fameuse jambe gauche (le « en même temps »). Enfin, le Premier ministre nous concocte un nouveau bidule chargé de la défense de la laïcité. Attendons pour voir.