Nos derniers articles
Café laïque à Mantes la Jolie le 4 oct. 2014
Dernières nouvelles
“In God we trust”
Aux Etats-Unis la liberté religieuse prime sur la liberté de conscience. La devise officielle de ce pays est : « En Dieu nous croyons ». Elle est sur tous les billets de banque et les pièces de monnaie. Les religions, les différentes Églises comme les sectes peuvent prospérer en toute tranquillité. S’il est précisé dans l’Article VI de la Constitution des États-Unis que : « aucune profession de foi ne sera exigée comme condition d’aptitude aux fonctions ou charges publiques sous l’autorité des États-Unis ». Il n’en demeure pas moins que le Président lui-même, lors de son investiture, jure sur la Bible et le texte du serment comporte la phrase « So help me God » (« Que Dieu me vienne en aide »), ces mots auraient été rajouté par le président Washington lors de la première investiture, mais ils n’ont jamais été supprimés. Il a fallu attendre 2008, pour qu’un président américain fasse mention des non-croyants dans son discours d’investiture en parlant de l’Amérique comme une « nation de chrétiens et musulmans, de juifs et d’hindous – et de non croyants ».
Réforme des rythmes scolaires
Encore plus de privilèges pour l’enseignement privé confessionnel , au détriment de l’école publique laïque , en particulier lors de l’application (ou NON) de la réforme des rythmes scolaires.
« Une réforme tout bénef pour l’école privée »
[titre faits à l’appui le Canard Enchaîné du 17 septembre 2014 (1).]
Transferts d’élèves : « La réforme des rythmes scolaires n’étant obligatoire favorisent que dans le public, 90 % des écoles privées ont décidé de ne pas l’adopter. Du coup, elles connaissent un afflux de nouveaux élèves, que leurs parents hostiles à la semaine scolaire de 4,5 jours ont retiré du public. La réforme fait donc gonfler leurs effectifs ! »
Lettre d’une enseignante
Dernières nouvelles
Après la bénédiction des téléphones, c’est le tour des cartables
“Les cathos bénisseurs en veulent aux cartables et aux sacs de nos enfants pour les alourdir de leur inénarrable catéchisme…”
Une pilule dure à avaler : La Cour suprême des États-Unis consacre l’entreprise de tendance à but lucratif
Tel est le titre d’une récente livraison de la Revue des Droits de l’Homme.Suit une longue analyse dont voici le résumé qu’elle même en a fait.
Au nom de la protection de la liberté religieuse des employeurs, la Cour suprême censure l’obligation faite par la loi américaine sur l’assurance-maladie de souscrire, au profit de leurs salariés, des contrats collectifs d’assurance santé prenant en charge un ensemble de contraceptifs, dont certains appartenaient à la catégorie des « pilules du lendemain ». Pour ce faire, la Cour suprême ne se fonde pas sur les principes constitutionnels du Ier amendement, mais sur une loi fédérale à l’histoire singulière, le « Religious Freedom Restoration Act », adopté en 1993. En déclarant cette loi applicable à des entreprises privées classiques, la Cour consacre la notion d’« entreprise de tendance » à but lucratif, même si elle en limite l’application à des entreprises étroitement contrôlées par des personnes physiques. La solution n’en marque pas moins une extension préoccupante de la notion d’ « entreprise de tendance » ou de conviction.
Les Espagnoles ont-elles fait reculer leur gouvernement ?
Le journal espagnol en ligne, elmundo.es annonce dans un article daté du 14 septembre que le gouvernement a l’intention d’enterrer le projet de loi qui prévoyait d’interdire à nouveau aux femmes espagnoles d’avorter librement. Protestations de femmes et d’hommes politiques de gauche et parfois de droite, manifestations de citoyens, majoritairement des femmes, se sont succédées en Espagne, ont été relayées à Paris et à Londres et dans d’autres villes aussi, par des citoyens outrés de cette atteinte caractérisée à la liberté des femmes. Porté par son enthousiasme, le Premier ministre Rajoy annonçait même son intention de porter ce combat dans l’Union européenne afin de faire reculer le droit à l’avortement dans tous les États membres.
Quand allons-nous réagir ?
Les fanatiques musulmans ont compris que les États occidentaux étaient de plus en plus faibles faces aux menées cléricales et obscurantistes ; au nom de la liberté religieuse, de la tolérance, du relativisme voire de l’anti-racisme. Ainsi, en Allemagne, à Wuppertal, une petite ville de Rhénanie, les habitants ont fait connaissance dans les rues d’une brigade de contrôle des mœurs à la saoudienne. Une bande de barbus, vêtus d’une veste fluorescente estampillée “Charia Police”, patrouille en ville, de préférence la nuit, pour apostropher les musulmans. Ils se postent devant les discothèques et casinos, distribuant des tracts jaunes rappelant les principes de la charia : pas d’alcool, pas de tabac, pas de musique, pas de jeux d’argent – et incitent les femmes à se voiler.
Lettre à Madame la Ministre de l’Éducation Nationale
Dernières nouvelles
My name is Nobody, mon nom est Person(ne)
La livraison de Libération du 4 septembre 2014 nous en conte de belles au sujet des manipulations des cerveaux de jeunes ados et du mépris de la laïcité mise en œuvre au lycée catholique Gerson, Paris XVIè.
dernière Infolettre Laïcité
Infolettre bimensuelle #4
Infolettre bimensuelle #4 (19 avril 2023) - Les libres penseurs de France
Dernier communiqué
Aucun résultat
La page demandée est introuvable. Essayez d'affiner votre recherche ou utilisez le panneau de navigation ci-dessus pour localiser l'article.
Dernier Adogma
Aucun résultat
La page demandée est introuvable. Essayez d'affiner votre recherche ou utilisez le panneau de navigation ci-dessus pour localiser l'article.